Le passage de frontière sera réglé en une toute petite heure, test covid rapide compris. Les bâtiments de la douane sont situés dans une cuvette à l’abri du vent. Lorsque nous reprenons les motos qui sont pourtant à l’ombre, le tableau de bord affiche 43°c. Sensations particulières, à cette température tout est plus chaud que notre température corporelle : l’air, les gants, le casque, … Nous avons l’impression d’utiliser des poignées chauffantes. L’air surchauffé qui circule sur mes lèvres en roulant me donne l’impression d’ouvrir la porte du four de la cuisine équipée pour sortir le rôti du dimanche après l’apéro, en oubliant de reculer la tête. C’est plutôt désagréable. Heureusement après une demi-heure de route la température repasse sous les 40 degrés, c’est plus supportable.
Les paysages dans le désert de l’Afrique du Sud sont majestueux. Décor rouge-orangé, route en bitume foncé, ligne jaune en bord de route. Je n’y suis jamais allé, mais selon les images que j’ai pu voir, on pourrait se croire dans le désert du Colorado aux USA. Nous nous arrêtons pour loger dans un campsite. Finalement nous louerons une sorte de chalet. Quel bonheur de retrouver un lit après pas mal de jours sur le matelas gonflable.
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Nous poursuivons dans ces magnifiques paysages. Fin de journée, nous nous arrêtons dans un campsite pour installer nos tentes. Il y a beaucoup de vent. La température passe sous les 20°c. Probablement me suis-je habitué aux fortes températures, je frisonne. J’enfile deux pulls et je terminerai avec mon bonnet. D’un endroit à l’autre les températures peuvent faire le grand écart.
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Quand nous démarrons, nous sommes toujours dans le désert, les paysages deviennent de plus en plus verts. Rapidement nous traversons des cultures de vignes et des cultures de citronniers.
Nous nous arrêtons à Mérindol Manor à Riebeek, lodge de Vincent. Vincent est Belge, il est originaire d’Orsainfaing. François a rencontré Vincent en 2019 en Belgique en allant faire presser ses fruits chez Civajus. C’est en parlant de notre projet de traverser l’Afrique que Vincent lui a appris qu’il était propriétaire d’un lodge en Afrique du sud et qu’il vivait là-bas. François lui avait promis de passer le voir quand nous arriverions près de CapTown.
Nous ne nous sommes pas annoncés, nous arrivons à l’improviste sans savoir si Vincent sera présent. Chance, c’est Vincent qui vient nous ouvrir le portail, il se rappelle très bien cette conversation avec François chez Civajus. Vincent nous invite à entrer et nous installe sur la terrasse devant la piscine. Il est en compagnie d’une cliente luxembourgeoise qui est une ancienne collègue du temps où il travaillait dans le monde bancaire. Du coup la conversation se fait en français, ce qui est plus confortable surtout pour François et moi. Le sujet tourne autour de notre voyage, mais aussi sur le parcours de Vincent. Au départ, employé dans une banque, il a l’occasion de travailler dans plusieurs pays. Il voyagera aussi avec sa femme à plusieurs reprises en Afrique. Il réduira son temps de travail comme employé bancaire et commencera à tenir des chambres d’hôtes puis il investira avec un partenaire dans Civajus. Un jour, le couple envisage de quitter la Belgique pour tenir un lodge en Afrique. Ils effectueront différentes recherches avant de trouver ce qui leur convient. L’idée était de s’installer dans un endroit où il était possible de retrouver une ambiance de village où les gens se connaissent et se côtoient tout en étant pas trop loin des moyens de transport et d’un aéroport. Et voilà comment Vincent s’est retrouvé en Afrique du Sud. Même si ces deux dernières années ont été un peu plus compliquées, il s’y sent bien, 310 jours de soleil par an ça aide. Vincent nous fera visiter cette propriété qui est un havre de paix. www.Merindolmanor.com.
Après un excellent moment chez Vincent, agrémenté d’un bon petit vin blanc, et pleins de tuyaux pour les choses à faire et à voir dans la région, nous prenons congé de notre hôte. Nous nous rendons au Campsite « Africa Overlander » déniché par Victor. Nous y faisons la connaissance des propriétaires Dunkan et son épouse.
Dunkan est anglais, elle est Espagnole. Dès l’âge de 17 ans Dunkan quitte l’île de White et entreprend son premier voyage. Il consacrera une décennie à voyager avant de retourner en Angleterre pour aller à l’université. Il poursuivra ses voyages par la suite. Cela fait maintenant 10 années qu’ils sont installés en Afrique du Sud. En plus du campsite, Dunkan rénove d’anciens véhicules qu’il exporte ensuite vers l’Europe : 4×4 Toyota BJ-40, Volkswagen combi T1 et T2, Volkswagen Coccinelle… Nous laissons nos motos chez Dunkan pour qu’il les envoie en Europe par bateau dans un container avec d’autres véhicules
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Ce sera journée lessive et repos dans le camp pour François et moi, moules frites et journée nostalgie pour Victor à CapeTown.
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Nous nous préparons à partir pour le cap l’aguillas. Ce matin nous quittons Victor, il reprend l’avion demain matin. Ce furent de beaux moments partagés ensemble. Nous nous reverrons en Belgique.
Nous parcourons d’abord une région montagneuse sur une route sinueuse qui nous ravi. La route est en excellent état, comme souvent en Afrique du Sud. Nous sommes à l’intérieur des terres. Nous traversons pendant des kilomètres des immenses étendues de cultures céréalières qui ont été fauchées récemment. Après avoir parcouru environ 250 Km nous atteignons la côte. Le vent est frais et iodé, j’adore ressentir cette sensation de fraicheur, ce sont souvent mes moments préférés à moto, comme quand nous partons au lever du jour le dimanche matin en été. Le bleu Azur de l’océan Indien contrasté par l’écume des vagues d’un blanc laiteux, qui viennent se fracasser dans un grondement sourd sur la roche en bord de plage est un spectacle hypnotisant. La route serpente sur plusieurs kilomètres à quelques mètres de l’océan sans obstacles visuels, c’est carrément grisant.
Nous rejoignons le campsite qui est situé à 50 mètres du front de l’océan. Nous installons rapidement nos tentes, puis nous allons savourer une cannette de bière assis sur un banc face à l’océan. Deux piscines d’eau de l’océan ont été construites sur le front de l’océan, elles se remplissent à chaque marée haute. Justement deux dames âgées viennent s’y baigner. Lorsqu’elles ressortent et passent à deux mètres de nous, je leur demande si l’eau n’était pas trop froide: je n’aurai même pas un regard en retour. J’avais vaguement entendu que des bains d’eau salée avaient des vertus, mais rendre sourd, c’est une découverte. Malgré cette petite déconvenue, nous décidons de rester deux nuits à cet endroit magique.
Le lendemain, nous chaussons nos bottines de marche et nous nous rendons au point le plus au sud du continent Africain, le Cap des Aiguilles. C’est à cet endroit que se rejoignent les eaux chaudes de l’océan Indien et les eaux froides de l’océan Atlantique.
L’après-midi nous visitons le phare et nous retournons avec les motos au point le plus au sud pour réaliser quelques photos. En fin de journée nous allons prendre une bière sur le front de l’océan et nous contemplons les vagues qui viennent s’échouer sur le bord de la piscine. En regardant ce spectacle, je me dis que ce serait dommage de ne pas aller se baigner dans cette piscine. Ni une ni deux me voilà en slip bien décidé. Je descends dans l’eau, elle est un peu fraiche, mais pas froide. Je nage jusqu’au bout où les vagues viennent percuter le mur et remplir la piscine. Je pose les mains sur le muret en m’étendant dans l’eau et je regarde, fasciné, les vagues déferler les unes derrière les autres. C’est extraordinaire, j’ai l’impression de faire corps avec la nature. La quantité d’eau que je reçois sur la tête est parfois surprenante. Je fini par rejoindre le banc, pour terminer ma bière.
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Nous quittons le cap des aiguilles, destination le cap de bonne espérance. 280 km de route, nous pensons pouvoir rallier le cap assez rapidement. La première partie du trajet s’effectue à l’intérieur des terres pour ensuite se diriger vers la côte. Nous traversons plusieurs villes le long de la côte, ce qui nous prend beaucoup plus de temps qu’imaginé. En sortant d’une ville, nous passons devant un immense bidonville, le vent y souffle fortement, il ne nous quittera plus. Pour lutter contre les bourrasques, et surtout éviter de se faire déporter sur la bande des véhicules qui arrivent en sens inverse, nous devons régulièrement incliner les motos à contre sens du vent. Par moment on pourrait nous prendre pour des crabes. Quelques kilomètres plus loin, nous roulons de nouveau le long de l’océan. Le vent souffle de l’océan vers les terres, emportant avec lui les embruns qui ressemblent de plus en plus à du brouillard. Le sel contenu dans ces embruns a tôt fait de maculer nos lunettes de moto. Nous sommes obligés, tout en continuant à lutter contre le vent, de les essuyer régulièrement avec nos gants. Après ce passage un peu épique, nous traversons à nouveau une ville. Nous ne sommes plus loin du cap bonne espérance, cependant, il se fait tard et la nuit ne tardera plus à tomber. Nous décidons de rejoindre le campsite le plus proche. Celui-ci est disposé en terrasses face à l’océan, ce qui nous offre une vue à 180° sur la baie et les montagnes situées en face. Nous sommes ravis de cette merveilleuse vue.
Au moment de se coucher, le vent est toujours présent et il ne faiblira pas de la nuit. Par moment la structure de la tente fléchit sous la pression du vent, puis elle se redresse violemment tendant les toiles dans un claquement sec. Ce sera une nuit blanche, impossible de fermer l’œil.
Au petit matin nous ne voyons plus la magnifique vue du même œil. Je parviens à préparer du café avec notre réchaud malgré le vent. Nous prenons notre petit déjeuner et nous quittons le campsite en direction du cap de bonne espérance.
Nous longeons la côte sur une magnifique route. Elle est en terrasse surplombant l’océan, le revêtement est parfait, elle est sinueuse et bordée d’un muret de pierres. Le bleu de l’océan est toujours aussi incroyable. Je ne peux m’empêcher de m’arrêter régulièrement pour prendre des photos, alors qu’habituellement sur une telle route, j’enchaine les virages à la volée en balançant la moto d’un coté à l’autre sans me soucier du paysage.
Nous arrivons à l’entrée du parc qui permet d’accéder au cap. Le paysage change fortement. De la végétation basse teintée de différents verts, de mousse rougeâtre, et d’arbustes noirs séchés. Le tout sur un fond bleu azur de l’océan, Océan que nous apercevons par moment de chaque côté du paysage.
Nous y sommes presque. Devant nous se dresse, en plein milieu de la route, une autruche qui n’a pas l’air décidée à nous laisser passer. Une autruche à quelques mètres de nous en liberté, ce n’est pas un petit z’oiseau hein !. Nous savons qu’elle peut être dangereuse. Nous parvenons à la contourner apparemment sans l’effrayer.
Voilà nous arrivons au bout du bout de notre voyage « le cap de bonne espérance ». Nous nous rendons d’abord sur les hauteurs au pied du phare pour admirer la vue, puis le long de l’océan pour prendre cette photo de nos motos et du panneau signalant cet endroit mythique. Ça a été quelque peu compliqué d’obtenir cette photo sans que personne n’apparaisse dessus, mais notre persévérance nous a récompensé. Emotion particulière d’être arrivés là, nous concrétisons la réalisation d’un rêve qui du coup aussitôt se termine…et laisse la place à d’autres… ça signifie aussi que nous allons rentrer à la maison, revoir nos proches et les serrer dans nos bras.
Mais avant cela, il nous reste encore à profiter de 4 jours sur place.
Nous nous arrêtons dans un campsite situé à 300 m de l’océan. Après avoir installé nos tentes, nous allons au bord de l’océan, le soleil commence à se coucher. Nous n’y resterons pas longtemps tant les rayons du soleil qui se reflètent sur l’océan sont insupportables.
Le lendemain nous passerons une bonne partie de la matinée à regarder le spectacle apaisant des surfeurs sur l’océan. Ca me donne envie d’essayer, rien à louer sur cette plage, ce sera pour une autre fois. Nous décidons de rester deux jours au même campsite.
Début d’après-midi nous allons jusque CapTown pour voir la montagne « Table Mountain». Il n’est pas possible d’accéder à son sommet à moto. Nous empruntons la route qui mène sur la montagne située en face. De cet endroit, nous avons une vue plongeante sur la ville, ce qui nous permet de prendre des photos de la ville et de Table Mountain
Au retour nous longeons à nouveau l’océan sur une route sinueuse à flanc de colline. C’est encore un régal pour les yeux.
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Nous allons le long de l’océan, dans un endroit où il est possible d’observer les pingouins. Ils sont évidemment comiques lorsqu’ils marchent. Ils sont habitués à voir les hommes et ne sont pas du tout farouches. Nous immortalisons quelques spécimens.
Nous nous arrêtons chez Jack’s pour s’installer en terrasse face à l’océan et prendre un verre. Nous faisons la connaissance de la patronne Laura qui est d’origine anglaise. Elle habitait Londres avec son mari où ils travaillaient énormément avec des postes à responsabilités, gros salaires et qualité de vie réduite. Le week-end pour eux était un moment de décompression durant lequel ils profitaient réellement de la vie. Jusqu’au moment où son mari à dû travailler aussi les week-ends. Ça a été la goutte qui a fait déborder le vase. Ils ont décidé de changer de vie et de quitter Londres. Pour y parvenir, ils ont rédigé une annonce à la recherche d’un travail à l’étranger dans le journal anglais « Thé Times » qui paraissait un peu partout dans le monde. C’était bien sûr avant la venue d’internet. Ils ont reçu des réponses de différents pays. C’est une réponse en provenance du Kenya qui a retenu leur attention. Ils sont partis tenir un lodge au Kenya pendant un certain temps. Puis un jour, l’ancienne compagnie de son mari, British Airways, l’a recontacté pour un job qu’il a accepté. Ils sont alors rentrés en Angleterre. Laura s’est aperçue rapidement que son esprit avait changé et que ce n’était plus possible pour elle de vivre à Londres. Son seul souhait était de retourner vivre en Afrique. Par chance un poste identique au nouveau job de son mari était disponible en Afrique du Sud. Après 4 mois, ils étaient de retour en Afrique. Cela fait maintenant 24 ans qu’ils vivent en Afrique. Laura nous a donné ce message : « après le voyage que vous venez de réaliser, votre esprit, votre personnalité a changé, restez indulgents avec ceux que vous allez retrouver en rentrant, qui eux sont restés les mêmes. »
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Vers la côte ouest, nous empruntons des routes montagneuses aux paysages exceptionnels en bord d’océan. Puis la côte devient plus plate. Au loin j’aperçois des voiles de kitesurfs. Je me mets debout sur les reposes pieds pour voir où se situe la plage. Nous nous dirigeons vers la plage où sont les kitesurfeurs. A notre arrivée sur le petit parking, c’est un peu l’effervescence, deux ambulances s’apprêtent à démarrer vers l’hôpital. Il y a eu un accident de kitesurf. Les ambulances parties, nous stationnons nos motos et nous marchons quelques mètres sur la plage pour admirer ce spectacle. Il y a beaucoup de vent et les kitesurfeurs s’en donnent à cœur joie. Quand l’aile prend bien le vent, ils s’élèvent à plus de 20 mètres au-dessus de l’océan. Un des gars vient à notre rencontre, il dit que ce sport procure de fortes doses d’adrénaline et que c’est très grisant. Nous n’en avons aucun doute, ça me tenterait bien également: selon lui il faut compter deux journées d’apprentissage si on est à l’aise avec un snowboard. Un jour peut-être ? Nous poursuivons notre route, le paysage devient fade et le vent très fort. Nous roulons avec la moto inclinée en permanence tellement il y a du vent. La pression exercée sur les cervicales pour essayer de maintenir la tête droite est importante. Après une bonne heure à ce régime, nous ne voyons pas d’intérêt de poursuivre dans cette direction. Finalement nous retournons en direction de cape Town.
Le lendemain nous retrouvons Paul et Cathy dans le port de capetown. Paul et Cathy attendent leur 4X4 qui doit arriver prochainement par bateau. Ils se préparent pour un périple de trois mois en Afrique. Ils se sont organisés pour arriver avant notre départ. Se voir à Capetown c’est super sympa. Nous en profitons pour aller au resto et passer une super après-midi ensemble. Bon voyage à eux.
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Dernier jour en Afrique, demain nous prenons l’avion. On se prépare doucement. D’abord une sieste milieu de matinée. Un peu de rédaction pour moi. Petites courses alimentaires, tri des bagages entre ce que nous laissons dans les coffres de la moto et ce que nous reprenons avec nous.
En début de soirée, nous rencontrons Stefan. Il est né en Afrique du Sud de parents Allemands et y a vécu jusque ses 19 ans. Depuis il vit en Allemagne. Il termine un voyage de 7 mois. Dans un premier temps, il s’est occupé de sa maman qui vivait en Afrique du sud depuis 40 ans. Âgée elle ne peut plus vivre seule. Il a fallu qu’il gère le retour en Allemagne, le déménagement et la vente de la maison familiale. Pas mal de stress. Ensuite sa copine est venue le rejoindre. Ils ont voyagé dans un 4X4 équipé d’une tente de toit, ce fut pour eux aussi une magnifique expérience. Sa copine est déjà rentrée en Allemagne, Il se prépare à rentrer également. Ce voyage l’a changé, il souhaite œuvrer dans un métier qui donne plus de sens à sa vie et qui soit plus proche des valeurs profondes qui se sont révélées à lui lors de ce voyage. Nous partageons notre repas autour du barbecue et passons la soirée ensemble. Quelle belle rencontre en cette dernière soirée Africaine.
Il y a deux ans, son frère devait être le premier à tenter la traversée l’Afrique du caire au cap en paramoteur en 6 mois. Lui devait le suivre en voiture avec une équipe de caméramens professionnels. Tout était prêt, ils étaient en Afrique pour démarrer lorsque toutes les frontières ont fermé les unes après les autres pour cause de covid. Le projet n’est pas abandonné, il est pour l’instant gelé, le partenaire principal étant un fabricant d’aile de paramoteur, il reste intéressé. Nous espérons qu’ils pourront réaliser ce projet prochainement. Nous resterons en contact pour suivre cette aventure.
L’Afrique est un merveilleux continent, avec 14 000 km parcouru (13 951 pour être précis), nous n’en avons vu qu’une très petite partie. Derrière ces splendides décors, beaucoup de gens souffrent terriblement en Afrique, et notre mode de vie européen contribue grandement à leur souffrance.
Clap de fin, c’était grandiose, nous sommes ravis d’avoir partagé ces moments avec vous. Merci pour tous vos commentaires, à bientôt
A défaut de vous lire, j’espère trinquer avec vous maintenant. Ma terrasse est ouverte, le frigo est plein et si vous êtes en manques, vous pourrez planter votre tente dans ma pelouse, promis !
Chapeau bas, messieurs. You did it !
Chouette, vous pourez vous reconvertir dans le journalisme et pourquoi pas écrire un livre. Sylvain Tesson a de la concurrence !!! 🙂
Chouette de vous lire et chouette de vous avoir vus à Capetown ! Bon atterrissage 😉
Merci de nous avoir fait voyager dans de si belles contrées. Bon retour dans vos familles, ça va être exceptionnel ! Et gardez bien en tête le dernier conseil qu’on vous a donné, il était judicieux. Pour l’avoir expérimenté moi-même, personne d’autre que vous ne pourra vraiment comprendre ce que vous avez vécu et ce qui vous a changés. Mais le partage sera tellement enrichissant que ça ne sera pas très grave 😏 À bientôt par ici …
BRAVO pour votre persévérance vous avez réalisé votre rève .
Vous l’avez fait .
Grace à vous nous avons participés a un magnifique reportage du continent Africain .
Bon retour en Belgique.
Alain & Louis
BRAVO les gars ! Bon retour au bercail, et MERCI pour cette belle aventure que vous avez partagé !… Bon on doit combien 🙂 … pour la bonne cause bien sûr !
Au plaisir d’en boire une avec vous et de déguster vos histoires…. à très vite !
Je suis ravie de vous avoir suivi tout au long de se périple!
Je suis époustouflée de votre détermination et de votre amour de l’aventure!
Merci d’avoir partagé votre voyage à travers les mots!
François, une demi leffe à Tilly quand vous voulez!
Bon retour chez vous!
Je suis ravie de vous avoir suivi tout au long de ce périple!
Je suis époustouflée de votre détermination et de votre amour de l’aventure!
Merci d’avoir partagé votre voyage à travers les mots!
François, une demi leffe à Tilly quand vous voulez!
Bon retour chez vous!
Félicitations pour ce périple réalisé de mains de maître….
Bonne remontée vers le « noooord «
Salut les motards ! nous vous avons suivis et particulièrement cette dernière étape qui nous a rappelé beaucoup de souvenirs ! Duncan est aussi connu de nous…et de beaucoup d’autres ! Nous avons pris note de l’adresse du manoir de Mérindol puisque nous allons repartir dans la région et notamment chez Duncan, puisque notre périple se termine bientôt au Kenya et que nous avons décidé de shipper notre véhicule du Cap vers l’Amérique du Sud ! Une autre aventure commencera dans quelque temps…
Nous vous espérons bien rentrés en Belgique et certainement prêts à repartir…
Amicalement
Marc et Murielle
C’est avec émotion que je lis votre dernier chapitre. Dommage!
Dieu qu’il va être difficile pour vous de vous réhabituer au style de vie européen.
Immense MERCI pour le partage de vos aventures, de vos rencontres.
Quel bonheur de vous lire. Vous êtes arrivés au bout de votre périple et vous avez réalisé un bel exploit. Bravo à vous 2. Merci de nous avoir partagé votre belle aventure. Comme beaucoup, je vous dirai que vous ne verrez plus votre vie en Belgique de la même façon. L’Afrique vous marque à jamais et une partie de votre cœur y restera. J’espère que le voyage de retour s’est bien déroulé. Et comme on dit à Ouaga : bonne arrivée. J’espère avoir l’occasion de vous rencontrer bientôt. Et puis, communiquez-moi le montant à vous verser. Encore chapeau pour votre exploit.