Jeudi, envois d’une demande d’article au groupe SUDPRESSE à paraître quelques semaines avant notre départ, qui est prévu en décembre 2020. Samedi juste avant midi, nous sommes contacté par Clémence Hubert qui explique préparer un article pour l’édition de lundi et qui a besoin d’une photo pour l’illustrer. Des photos pour illustrer notre départ ! On pensait bien en faire dans les prochains mois, mais là maintenant on a rien. Une demi-heure et deux SMS plus tard, un shooting photo est planifié pour le lendemain 14h30.
Dimanche 14h30 pétante, on saute dans nos vêtements moto. On embarque une tonnelle, une moto, deux casques, la bâche publicitaire avec notre logo, et bien oui ça par contre c’est fabriqué depuis environ 6 mois, allez comprendre, une poignée de colliers colson , une pince coupante, une photographe et un assistant de montage au pied levé, on les remercie chaleureusement. Et nous voilà parti dans notre belle campagne sur un spot bien connu, accompagné par le soleil. Installation de tout cet attirail avec quelques tergiversations. Le soleil rasant pour réaliser des photos c’est pas le plus facile, les ombres portées sont gigantesques. Un léger nuage viendra nous sauver la mise. Mitraillage dans 36 positions, démontage de l’installation aux pas de courses. Déjà presque 16h00, on rentre dard dard. Le temps de passer les photos en revue et d’en choisir trois. Elles sont envoyées vers 16h15. Houf à temps.
Conclusion : Chez La Meuse Luxembourg ils sont du genre réactif. Le départ de Cair-o-Cap c’est dans un an et pourtant c’est déjà l’aventure.